mardi 23 juillet 2013

25/06/13 asunción


jarrive a la capitale en pleines preparations pour la fête de san juan, grande celebration nationale avec costumes traditionelles, plats du pays et spectacles en tous genres. mon petit guide de touriste mavait bien fait rire en expliquant la danse avec une bouteille sur la tête, j ai arrêté net quand les bouteilles ont commencé a saccumuler jusqua douze, et tout ca en musique avec un grand sourire. j´étais curieuse de voir la différence de comportement entre les gens de la capitale et de concepción, mais partout la même gentillesse. je commence a passer mes journées a peindre la façade dun restaurant, toute la journée les passants m´encouragent et me complimentent. je ne compte plus les femmes de quarante ans qui me disent " la peinture est chouette, la fille est chouette, tout est chouette!", un garçon de huit ans m´offre une pomme, les sans-abris viennent me toucher les cheveux et me parler de la noblesse de lart.
llego a la capital en plenos preparativos para la fiesta de san juan, gran fiesta nacional con ropa tradicional, comida típica y representaciones. me había reído mucho al leer en mi guía de turista que el baile tradicional es ejecutado con una botella encima de la cabeza, dejé de reírme cuando ví las bailarines subir hasta doce botellas, con ritmo y sonrisa. estaba curiosa de ver la diferencia entre la actitud de la gente de la capital y de concepción, pero por todas partes encuentro el mismo cariño. paso horas y horas pintando una fachada de restaurante, y durante todo el día la gente me anima y me complimenta. ya no sé cuantas mujeres de cuarenta años me dijeron "la pintura es linda, la chica es linda, todo es lindo!", un niño de ocho años me regala una manzana, gente sin hogar viene a tocarme el pelo y charlar de la nobleza del arte.


"bonjour. elle est vachement blanche quand meme votre facade... je peux peut-être vous arranger ca?"
"hola, que blanca su fachada.... eso se lo puedo arreglar yo."









barrió san jeronimo



je toque a la porte d´un tatoueur avec le maigre prétexte davoir echangé deux mails avec sa voisine. je montre quelques dessins et je suis immédiatement adoptée et prise en apprentissage. je retrouve la joie de passer des journees dans une boutique avec un chien.
golpeo la puerta de un tatuador con la debil excusa de haber mandado dos mails a su vecina. muestro un par de dibujos, y de repente estoy adoptada. vuelvo al dulce placer de pasar días en una tienda con un perro.

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